
PÈRE TEODORO (CIRILO) ILLERA DEL OLMO
Il naquit le 29 mars 1883 à Las Quintanillas de Burgos. Ilvécut avec unoncle prêtre, avec lui ilguida ses pas vers la vie religieuse. Arrivé à Barcelone, il professa dans la Congrégation de San Pedro ad Víncula en 1901. Après ses études d’Instituteur, de Philosophie et de Théologie, il fut ordonné prêtre à Burgos en 1914. Il servit comme prêtre et aussi comme éducateur et supérieur local. En 1931, il fut élu conseiller général. On détient de lui, dans le Secrétariat Général, une abondante correspondance issue de ses fonctions. En 1936 il était supérieur de la maison de Sant Feliu de Llobregat (Barcelone). Fidèle jusqu’au bout dans l’accomplissement de ses obligations, il fut arrêté avec les autresreligieux et assassiné le 27 juillet 1936 dans la localité voisine de Pallejà.
Religieux de la Congrégation de Saint Pierre-aux-liens

FRÈRE JOAQUÍN (JACINTO) GÓMEZ PEÑA
Il naquit le 26 juillet 1895 à Barrio de Alfoz de Bricia, Campino (Burgos). Un oncle et un frère étaient des religieux Piaristes. En 1910, il entra dans la Congrégation de San Pedro ad Víncula, à la fin deson noviciat, il professa en 1912. Après avoir accompli le service militaire, il fut admis à la profession perpétuelle en janvier 1922. La communauté du couvent de Barcelone fut expulsée le 20 juillet 1936, alorsil fut accueilli par celle de Sant Feliu de Llobregat. Là, le 26, il fut arrêté avec les autres religieux. Emmenés au cachot local, un groupe de miliciens de la ville voisine de Molins de Rei, à minuit, lessortit du cachot et lesemmena sur les bords de la rivière Llobregat à Pallejà où ils furent exécutés vers trois heures du matin du 27 juillet 1936. Il fut un religieux fidèle et fiable qui mérita la confiance de ses supérieurs.
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FRÈREMAXIME (JOSEPH) FRANCO RUIZ
Il naquit le 24 mars 1906 à Sotragero (Burgos), il fut baptiséle lendemain et confirmé le 18 septembre 1910. Il était l’aîné de 14 frères et sœurs. Ilentra dans la Congrégation à l’âge de 19 ans. Il commença son noviciat le 22 mai 1926, il professa l’année suivante et prononça ses vœux perpétuels le 24 septembre 1932. Il fut éducateur auprès des enfants de l’Asile Durán de Barcelona, transféré à la maison de Sant Feliu, il continua sa fonction éducative avec enthousiasme et joie. Lorsque le 26 juillet 1936, les miliciens attaquèrent le Centre, ilsubit le même sort que ses frères, il fut arrêté et assassiné dans le village de Pallejà. Il avait un sens profond de ses responsabilités; son caractèreétait jovial et il fut un bon guide pour ses étudiants; Il était un virtuose religieux, pieux et d’un grand amour à la Sainte Vierge.
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FRÈREJOAQUÍN JOSÉ PUENTE GONZÁLEZ
Il est né le 25 décembre 1915 à San Andrés de Montearados (Burgos). Il fut baptisé trois jours plus tard et confirmé le 13 octobre 1922. Cinq ans après son frère Bernardo (Emilio), il commença son noviciat à Marseille le 23 septembre 1934, à la fin de l’année, il professa. Ilrevint en Espagne, destiné à Sant Feliu, il alterna ses études avecquelques services aux étudiants de l’Asile. Le 19 juillet 1936, il fut destiné à Barcelone. Quand la maison fut attaquée, il se réfugia chez desamis. Le 26 juillet, quand il rendait visite aux religieux de Sant Feliu, il fut emprisonné avec eux. Son destin fut celuide ses frères. Assassiné près du fleuve Llobregat, son agonie dura quatre heures; au moment de ramasser les corps, un milicien le vit encore vivant etplongea sa tête dans la rivière jusqu’à ce qu’il fût mort. Il était fervent et fidèle, il admirait son application et sa piété, il s’occupait de façon responsable des enfants accueillis.
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FRÈRE BERNARDO (EMILIO) PUENTE GONZÁLEZ
Il naquit le 5 mars 1911 à San Andrés de Montearados (Burgos). Il fut baptisé le lendemain et confirmé en septembre 1916. Une tante étaitreligieuse Piariste, trois oncles et trois cousins religieux de San Pedro ad Víncula. Ilvécut avec un oncle prêtre diocésain pendant deux ans avant de rejoindre la Congrégation. Il professa à Marseille, le 19 mars 1930. En juillet 1936, il avait reçu les Ordres Mineurs et terminé la 2e année de Théologie, Après l’agression de la maison de Barcelone, il vécut chez des amis. Reconnu dans la rue et emprisonné, il fut interrogé; Ilmontra la fidélité, la force et la fermeté dans sa foi. Il fut exécuté à Montjuïcparce qu’il étaitreligieux. Le 27, son cadavre fut admis à l’Hôpital Clinique, il futidentifié par un étudiant et d’autres connaissances. Réfléchissant et pieux; il unissait l’effort, l’étude et lacordialité; il transformait sa préoccupation sociale en prière et service
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FRÈRE STANISLAO DE KOSTKA (ISMAEL) TAJADURA MARCOS
Il naquit à Quintanillas de Burgos le 17 juin 1902, fut baptisé trois jours plus tard etreçut la confirmation en 1904. Ilentra dans la Congrégation de San Pedro ad Víncula, professa en 1919. Il fut chargé du poste d’infirmier en raison de sa sensibilité et dévouement. Lorsque les miliciens prirent d’assaut la maison de Barcelone, il fut accueilli chez des amis et des parents. Ilsubit différentes perquisitions, arrestations et interrogatoires, à cause de celails’inscritcomme volontaire dans un groupe de miliciens, avec l’idée d’aller dans la zone de non persécution religieuse; mais il n’y réussit pas; identifié comme un religieux de l’Asile-Duran, à Alcañiz (Teruel) il futjugé, condamné et exécuté à l’aube du 18 septembre 1936. Il était très humble et montrait beaucoup d’application, de dévouement et de soin dans toutes les fonctions. Ilagit avec fidélité, foi, force et prudence dans les différentes étapes de la persécution religieuse.
Religieux de la Congrégation de Saint Pierre-aux-liens

FRÈRE ANGEL DE L’ÉGLISE OCINA
Il naquit le 1er octobre 1913 à Nidáguila (Burgos). Il fut baptisé le jour même de sa naissance. Il entra dans la Congrégation en 1926. Après son noviciat à Marseille, il professa le 11 octobre 1931 et retourna à Barcelone pour poursuivre ses études où ildemeura jusqu’en 1936; En cette année, ilprofessa des vœux perpétuels, il avait fini 2e année de Théologie et il reçut les Ordres Mineurs. Les miliciens l’ont expulsé de la Maison-Asile ainsi quetoute la communauté. Après quelques incidents, persécutions et arrestations, il fut accueilli dans la maison de Gregorio Díez Blanco, où il resta jusqu’au 15 février 1937, jour de son arrestation avec d’autres frères et des laïques. Les six ont été emprisonnés dans la Txeca de Sant Elies(1) et, menés à la Rabassada(2), ils furentexécutés et jetés dans une fosse commune. « Il était intelligent et gentil, noble et humble. Bref: il portaitbien son nom, sa vie et sa conduite étaient irréprochables, il était un véritable ange. «
(1). Lieu de torture à Barcelone pendant la Guerre Civile.
(2). Lieud’extermination des prisonniers
Religieux de la Congrégation de Saint Pierre-aux-liens

FRÈRE RICARDO (ALBINO) GUERRA VILLAIZÁN
Il naquit le 14 septembre 1913 à Arenilla de Riupisuerga (Burgos). Il fut baptisé le 17 du même mois. Après avoir fini son noviciat à Marseille, il professa dans la Congrégation de San Pedro ad Víncula en 1931. Déplacé à Barcelone, il continua ses études, en 1936 il termina 2e année de Théologie et il avaitdéjà été admis à la profession perpétuelle. La Maison de Barcelone assaillie etle religieux chassés, il fut accueilli dans plusieurs familles. Quand il allait rendre visite auxreligieux chez Gregorio, les miliciens l’arrêtèrentavec les autres religieux et laïques. Leur destination fut commune: la Txeca de Saint Elies(1), abattu à la Rabassada(2) et jeté dans une fosse commune. Religieux vertueux, prototype de bon éducateur, jovial et compréhensif.
(1). Lieu de torture à Barcelona pendant la Guerre Civile
(2). Lieud’extermination des prisonniers.
Religieux de la Congrégation de Saint Pierre-aux-liens

FRÈRE ACACIO Mª CALLEJA SANTAMARÍA
Il naquit à Yudejo (Burgos) le 7 mai 1915 et fut baptisé deux jours plus tard. Après avoir accompli l’année de son noviciat, il professa à Marseille en 1934. Il étudia des Humanités et de la Philosophie dans la Maison de Barcelone.La nuit où les miliciens attaquèrent la maison, il y était.Il futemmené avec un autre religieux et un groupe d’étudiants. Ilvécut caché chez des amis et des connaissances. Ilsubit des perquisitions et des arrestations. Enfin, il se réfugia chez Gregorio, il fut l’un des 6 arrêtés, emprisonnés et exécutés. Il futamoureux de sa vocation, obéissant, attentif aux besoins des étudiants. Il montra son esprit fraternel dans la vie communautaire.
Religieux de la Congrégation de Saint Pierre-aux-liens

M. GREGORIO DÍEZ BLANCO
Il naquità Nidáguila (Burgos) le 24 Décembre 1899. Il fut baptisé le jour même de sa naissance et confirmé en 1903. Par des raisons de travail, il se déplaça à Barcelone ettravailla à la compagnie de tramways. Ilépousa Paulina Díez Anidobro et ils eurentquatre enfants. Paulina est décédée le 24 mars 1930. C’est pour cette raison que Camila, sœur de Gregorio, fut la maitresse de maison. Quand la guerre civileéclata, il n’hésita pas à accueillir chez lui les religieux qui lui demandèrent. Ilalla à la prison deSant Feliu, risquant sa vie, pour demander la libération des religieux de San Pedro ad Víncula arrêtés là. Le 15 février 1937, il fut arrêté chez lui avec trois religieux, Camila et Eliseo. Ils furent tous exécutés à la Rabassada(1) et jetés dans une fosse commune. Il était un catholique fervent, pratiquait l’hospitalité, la justice et l’amour du prochain. Responsable dans son travail, père affectueux, il a cherché l’éducation humaine et religieuse de ses enfants.
(1). Lieu d’extermination des prisonniers
Laïque

MME. CAMILA DÍEZ BLANCO
Elle naquit à Nidáguila le 14 septembre 1889 et fut baptisée le même jour. À Sedano, ellereçut la Confirmation en 1892. Elle passa son enfance et sa jeunesse dans la province deBurgos. À Barcelone, elle prit en charge la famille de son frère Gregorio qui devint veuf le 21 mars 1930. En 1936, elle accueillit chez elle plusieurs religieux de la Congrégation de San Pedro ad Víncula, consciente du danger que cela représentait. Pendant sept mois, ellesoigna et protégea tous ceux qui s’y trouvaient. Le 15 février 1937, cinq miliciens et une milicienneattaquèrent sa maison, détruisirent tous les objets religieux et l’arrêtèrentavec son frère, trois religieux et Eliseo. Toussubirent le même sort: Txeca de Sant Elies(1), exécution à la Rabassada(2) et fosse commune. Camila était gentille et simple avec tout le monde, hospitalière, elle favorisa la pratique religieuse de ses hôtes.
(1). Lieu de torture à Barcelone pendant la Guerre Civile
(2). Lieu d’extermination des prisonniers
Laïque

M. ELISEO MORADILLO GARCÍA
Il naquit le 10 septembre 1906 à Celada del Camino (Burgos) et fut baptisé le 16 du même mois. Son père,cantonnier du chemin de fer,changeaitfréquemment de domicile. Peu de temps avant le déclenchement de la guerre, il s’installa à Barcelone à la recherche de travail et il habitaprovisoirement dans la maison de la Congrégation. Quand la persécution religieuse éclata, il unit sa vie à celle des religieux. En tant que laïque de confiance, il était un intermédiaire entre les religieux. Le 15 février 1937, il fut arrêté chez Gregorio, ilparticipa avec piété etfoi au destin final des cinq autres prisonniers. Il était gentil, noble, serviable. Ilaccepta le risque de vivre avec les religieux et de les aider autant que possible.
Laïque
SOEUR ANDREA (RAMONA) SOLALL BALLESTÉ
Soeur Andrea naquità Lleida le 3 avril 1875. Baptisée à l’église de Saint Laurent Martyr. À l’âge d’un an, elle reçutle sacrement de confirmation. Elle entra à l’Institut des Capucines de la Mère du Divin Pasteur en avril 1893, à Sants et elle professa le 13 décembre 1899 à Igualada.
Le témoignage des sœurs est unanime: elle fut dévouée, joyeuse, créative. Ce dévouements’était formé dans une vie intérieure forte et un amour profond à Marie, Mère du Bon Pasteur, qui s’épuise inlassablement jusqu’à donner sa vie pour ses brebis. Amour à Marie qu’elle transmettait avec enthousiasme et conviction à ses élèves qui se souviennent, comme plusieurs fois par jour elle leur enparlaitet elles venaient souvent chez elle. Ellesinvoquaient la force et la protection de Marie au début et à la fin des cours. A l’imitation de Marie, son FIAT est l’hymne à l’obéissance et l’hymne de la joie. Ce que Dieu veut en moi …
La persécution religieuse espagnole la surprit dans la communauté de Premià de Mar. Les miliciens la reconnurent comme religieuse et la fusillèrent le 31 juillet. Elle futidentifiée parce qu’elle avait le numéro d’entrée dans la Congrégation. De Marie ellereçut la force de vivre l’amour et la mort en pardonnant, avec les mêmes attitudes du Christ.
Les traits franciscains de la simplicité, de l’humilité et de la joie furent vécus par chacune de ces trois sœurs d’une manière très notoire. L’Eucharistie quotidienne, si chère au Bienheureux Joseph Tous, leur a donné la force nécessaire pour souffrir avec le Christ.
Religieusede la Congrégation des Soeurs Capucines de laMère du Divin Pasteur


SOEUR PATROCINIO (MARIE) VILANOVA
Née à Sant Feliu de Codines (Barcelone) le 13 avril 1877. Deux jours plus tard elle fut baptisée dans la paroisse de Sant Feliu et à trois ans elle reçut le sacrement de confirmation. Elleentra à l’Institut Capucin de la Mère du Divin Pasteur en 1908, professa à la Maison Noviciat de Sarrià en 1909. Elle faisait partie de la Communauté –École de Sarrià quand la persécution a commencé.
Comme toutes les autres sœurs, elle fut forcée de quitter la maison le 19 juillet 1936 et se réfugia dans une maison voisine, celle de MM. Aumedes. Elle fut témoin de l’assaut et de l’incendie de l’école de Sarriá..
Comme elle ne pouvait pluscontinuer dans cette maison, elle se réfugia chez son frère à Sants, mais après quelques jours en craignant de les compromettre, elle laissa une note d’adieu avec beaucoup de délicatesse et quitta la maison. Elleoffrit ses services à l’Hôpital Clinique, où en étant reconnuecomme religieuse etelle ne fut pas acceptée. La sœur Dolores Massó explique : « Sr. Patrocinio eut la prémonition qu’elle allait mourir et me demanda delui coudre un crucifix sur ses sous-vêtements, elle avait prévu ce qui lui arriverait enchemin … J’ai appris plus tard que le 31 Juillet son cadavre fut introduit à l’Hôpital Clinique ».
Cette Sœur mena une vie cachée et modeste, de Sœur Capucine, si simple, qu’elle ne reflète que l’humble fidélité pour les choses ordinaires, dans la rencontre avec les Sœurs, avec les enfants et les jeunes, pour leur dire que Dieu les aime. Une vie modeste et humble, réalisant avec simplicité, joie et perfection la mission confiée par l’Institut. Sœurconvaincue et qui aimait sa vocation, qu’elle avait ressentie à l’âge de 14 ans et qu’elle vit s’accomplir à 31 ans, puisqu’elle avait dû s’occuper de sa famille.
Religieusede la Congrégation des Soeurs Capucines de laMère du Divin Pasteur

MÈRE CARLOTA DE LA VISITACIÓN (BAUDELIA) DUQUE BELLOSO
Elle naquit à Nava del Rey (Valladolid) le 20 mai 1872. Trois jours plus tard, elle reçut le sacrement du baptême et à cinq mois celui de la confirmation. À l’âge de 7 ans, elle était orpheline de père, elle était l’aînée de six enfants. La Bienheureuse Carmen de l’Enfant Jésus, fondatrice des Sœurs Franciscaines des Sacrés Cœurs,ouvrit une maison dans cette ville. Baudelia, captivée par l’esprit et le mode de vie des religieuses, à l’âge de quinze ans,demanda à entrer au noviciat à Antequera (Málaga). Elle prit le nom de Charlotte de la Visitation, elle prononça ses premiers vœux en février 1889 et en 1893, les vœux perpétuels. À l’âge de 21 ans, elleobtint le titre de professeur à l’école normale de Séville. Conduite par l’amour à Dieu et à la Congrégation et parun service compétent aux frères, elleoccupa différents postes de responsabilité: Fidèle Secrétaire de la Fondatrice, Secrétaire et Conseillère Générale, Supérieure des Communautés et Directrice des Écoles de la Congrégation. Dans les dernières années de sa vie, ellesubit des incompréhensions dans lesquelles elledémontra sa fidélité au charisme.
Au moment de la persécution religieuseelle était à Vilanova de Bellpuig (Lérida). La Communauté fut expulsée de la Maison du Collège, elle futreçue dans plusieurs familles. Réfugiée dans une d’elles à Barcelone, les concierges la dénoncèrenten tant que religieuse. La FAI l’arrêta. En cohérence avec toute sa vie qu’elledonna par amour deDieu, à Barcelone, le 11(14) novembre 1936. Il faut remarquer son esprit de prière et de piété, sa bonté, sa gentillesse et sa fermeté de caractère. Elle excellait dans la fidélité, le dévouement et le service à la Fondatrice et à la Congrégation. Peu de temps avant sa mort, elleécrivit une Vie de la Bienheureuse Mère Carmen, dans laquelle nous pouvons trouver le reflet de ses propres vertus et son expérience de l’esprit de la Congrégation.
Religieuse de la Congégation des Soeurs Franciscaines des Sacrés Coeurs